Epilogue
J’aimerai pouvoir goûter le temps
A la mesure de mes plaisirs
Savoir savourer les secondes
De toutes mes heures heureuses
Et retenir tes yeux
Qui s’éloignent déjà.
M’emplir de toi
M’emplir du temps
Qui passe, passe
Sans que je le vois
Il est toujours trop tard
Quand mon cœur est plein
C’est déjà fini
Il ne me reste que la fin
Et un souvenir trop rapide
Maudite vitesse
Du bonheur pressé
Il me reste la détresse
De ma mémoire frustrée.